jeudi 29 janvier 2009

chapître 1 : la lettre

Bonjour à tous !!

je reprends ici la tentative de début de blog que j'avais réalisé sur canalblog. Ok on peut dire que ça n'a pas été une réussite, mais je n'ai jamais été très blog à parler de ma vie et tout et tout.

Bref, j'avais commencer à rédiger une histoire, et cela aussi a été un fiasco total. Néanmoins, peut être que je la terminerais un jour. Je vous offre ici une possibilité de suivre le fil pour ceux qui ne la connaissent pas, où de le reprendre pour ceux qui l'ont perdu (c'est à dire tout le monde lol, y compris moi !!!). Je publierais ainsi un nouveau chapître par semaine pour que les choses n'aillent pas trop vite.

A bientôt et prenez soin de vous !!!

Il était une fois Eric, 31 ans, 1.82 m, célibataire, technicien dans l’entreprise Yu914, qui se demandait souvent : comment en ai-je fait pour en arriver là ? hier j’avais 20 ans, aujourd’hui je ne sais plus, où sont mes anciens potes ? où sont passés mes rêves. Etrangement, ces questions revenaient de façon régulière dans son esprit et il commençait même à rêver de situation passé, de fou rire, ce qu’il vivait assez mal. Cela étant, qui était vraiment Eric ? qui pouvait le dire ? bien sûr, ses collègues le connaissaient, ses parents l’avaient vue grandir, mais cela suffisait-il ? cette pensée le faisait souffrir car le rendait plus vulnérable envers une solitude qui grandissait. Retraçons son histoire. Eric est né à Noir-beauté le 19 avril 1977. Il a une sœur et un frère. Ses parents étaient respectivement ouvrier pour son père et employée de banque en ce qui concerne sa maman. Il était plutôt doué pour l’école et se trouva très vite une passion pour les sciences de la vie. Un jour, il parla avec sa mère :


- Maman, qu’est ce que tu fais comme métier, le maître nous a dit que nous devions réfléchir à notre avenir
- Mon chérie, je travaille dans une banque. C’est un endroit où l’on garde en sécurité l’argent des autres personnes.
- Et tu gardes de l’argent des autres ?
- Tu sais c’est très compliqué. Répondit-elle comme beaucoup d’adultes qui estiment qu’un enfant ne peut comprendre. Qu’est ce que tu vas répondre au maître
- Oh, j’aimerais devenir policier, ou pompier, ou médecin, je veux sauver des vies, répondit Eric avec enthousiasme
- C’est très bien mon chérie, j’espère que tu réussiras.


Enchanté par la réponse de sa mère, le petit garçon se préparait à répéter cette phrase mot pour mot à l’adresse de son professeur. A partir de ce moment là, il ressentit le besoin d’aider les personnes qui l’entourait. Il se sentit plus fort, et ce fut une façon de se persuader qu’il était fait pour un de ces métiers. Il était un enfant altruiste, entretenait de bonnes relations avec ses camarades même s’il préférait se confier à sa grande sœur lorsqu’il avait besoin d’une oreille attentive. En effet, si ses relations avec son petit frère, plus leader et bagarreur, était souvent brève, son entente avec sa grande sœur Célia était de nature à le réconforter. Leur écart était de 3 ans. Célia était une jeune fille brillante, aimé de ses deux parents, et elle assumait son rôle envers son petit frère avec joie. Cette relation avec sa sœur éloigna Eric de ses parents. Ils travaillaient beaucoup et étaient de moins en moins présents. De plus, le couple ne pouvait s’offrir le luxe de payer des vacances pour 5 personnes et les moments en famille étaient rares. Pour ne rien arranger, le couple battait de l’aile, ce qui affecta Célia qui était le seul à le remarquer mais celle-ci resta discrète et digne vis-à-vis de ses deux frères.

Une après midi, Eric fut de retour du collège à 18h30, après une longue journée et se trouva nez à nez avec Célia lorsqu’il sonna à la maison. Elle essaya de l’entrainer dans sa chambre mais le garçon comprit tout de suite qu’il y avait des étrangers à l’intérieur. Il fut prié de se rendre dans sa chambre et de rester faire ses devoirs jusqu’à ce qu’on lui autorise à sortir. Néanmoins, une demi-heure plus tard, il fut pris d’une envie pressante d’aller aux toilettes. Je ne sais pas ce qu’il se passe, mais je ne vais quand même pas attendre l’autorisation de sortir pour aller faire pipi, se dit-il. Mal lui en pris puisqu’au moment où il se rendait aux toilettes, son père était entrain de sortir de la maison, les mains liées par des menottes et entourées de deux policiers en uniforme. La seule chose qu’il comprit sur l’instant, c’était que les policiers étaient des gens méchants et il s’en tint à ce jugement puisque personne ne prit la peine de lui expliquer.

Son rêve de devenir policier en prit un coup, mais il lui restait d’autres métier où il pouvait se rendre utile, et il n’allait pas s’abattre pou cela ; non, il était décidément plus fort que cela. Un soir, il fut couché dans son lit après avoir passé une belle journée en pensant à l’avenir radieux qui l’attendait. C’est alors qu’il entendit au loin des cris. Il ne pouvait dormir avec un tel bruit alors il se leva afin de savoir la provenance de cette gène. Et ce qu’il vit le stupéfia. Ses parents étaient entrain d’hurler chacun leur tour, et son père finit par gifler sa mère. Cette dernière finit par demander à son père de quitter la maison et celui-ci ne se fit pas prier. Il partit sur le champ. Eric retourna se coucher en se demandant pour la première fois une question qui lui semblait une évidence après cette événement : mais pourquoi aider les gens ?
Pris par ses pensées, il n’entendit pas son collègue :


- hey Eric, on va manger, tu viens avec nous aujourd’hui ?
- euh, oui oui bien sûr.
- Tu es sûr que tout va bien ?
- Bien sûr, tout va bien merci.
- On se retrouve en bas
- J’arrive tout de suite.


Plus tard dans l’année, il était avéré qu’Eric couvrait une dépression profonde. Rien n’allait plus, et replié sur soi même, il n’avait personne à qui parler, il ne voulait parler à personne car selon lui personne ne l’écouterait. Le suicide lui vint comme une évidence, comme une solution à tout, comme sa solution. Il n’y avait pas à réfléchir, aucune question n’était pertinente puisque la situation l’était d’elle-même. Alors sans réfléchir, il prit une dose mortelle de médicaments et se laissa mourir à 31 ans.
Mais cette tentative échoua, comment ? il ne le savait pas. Quelqu’un était intervenu c’était sûr mais qui ? Personne ne savait qu’il était dans cette situation, il avait bien caché son jeu. Il n’était ni déçu ni content, il voulait en finir et ne se sentait pas mal par rapport à cette action, il était juste dans un lit d’hôpital et plus perdu que jamais.
Un jour, il reçu une lettre alors qu’il était maintenant en de mains expertes pour se faire soigner. Il était écrit :

« Bonjour Eric, je connais ton histoire, je sais qui tu es, et je sais tout ce que tu ressens même si on ne le sait jamais vraiment. Je vais te dire une chose. Je t’interdis de mourir mais peut être qu’un jour tu auras cette possibilité si c’est ce que tu souhaites. Je t’interdis de mourir avant d’ :

- Avoir réalisé un de tes rêves d’enfant
- D’avoir renoué le contact avec les personnes qui te soutenaient et que tu as laissé tombées
- D’avoir réparé le mal que tu as fait à Christiane
- D’avoir repris l’entrainement et transmis tout ce que tu sais sur le basketball
- D’être tombé amoureux
- D’intégrer une association et de donner de ton temps pour une cause qui te semble juste

Une fois que tu auras réalisé tout cela, alors peut être tu sauras si tu as envie de vivre ou mourir. Mais avant, je te promets que tu ne te poseras plus jamais cette question. Je ne t’en laisserais jamais le choix.
Bon Courage.
K. »

critique de roman n°1

"Le rôdeur" de Judith Kelman

Janvier 2005

470 pages



Critique perso : Honnêtement je ne peux faire une bonne critique de ce roman. Peut être ai-je été perturbé au point de lire ce livre dans de mauvaises conditions, mais je n'ai jamais vraiment été emballé. J'ai bien aimé la fin mais je suis peut être le seul lecteur à n'avoir compris l'histoire qu'à 10 pages du dénouement. Néanmoins, il s'agit d'un triller différent des autres, bien écrit, bien mené et qui mènent différentes histoires en parallèles pour vous tenir en haleine. A vous de voir.

Petit résumer : James Merritt, 7 ans, est renversé à côté de chez lui par un chauffard !! qui a fait cela ?? quels sont les circonstances de l'accident?? y a-t-il un lien avec les autres accidents survenues récemment dans le même quartier ??

Disponible dans ma bibliothèque personnelle :-)